Deux sœurs Harkonnen combattent des forces qui menacent l’avenir de l’humanité et fondent la secte légendaire qui deviendra connue sous le nom de Bene Gesserit. Qu’elles explorent les étoiles, échappent aux dystopies ou rendent le monde meilleur, ces femmes sont l’essence même de la science-fiction. Cette série utilise du matériel de la trilogie Great Schools of Dune, de Brian Herbert et Kevin J. Anderson. Préquelle du Dune original, elle raconte l’histoire de l’évolution de la Confrérie de Rossak vers le Bene Gesserit. L’incident avec Valya Harkonnen utilisant la voix est tiré d’un livre intitulé “Mentats of Dune”. Les trois livres entremêlent le développement de la Confrérie, des Mentats, des Navigateurs et des Suk Doctors. Ce qui est référencé dans Crazy Cartoon Cast d’AniMat : The New Normal (2020). Je voulais le garder court et précis, mais je me suis senti obligé de développer mes pensées. Alors voilà. Il fut un temps où les scénaristes savaient comment intégrer l’exposition dans le récit sans que cela ne paraisse forcé et artificiel. Je comprends que ce soit un premier épisode, mais ils doivent tout expliquer comme si ce n’était pas déjà connu dans le premier épisode, avec Watson (Valya), Mark Strong (Empereur), Travis Fimmel (Hart) et Sarah-Sofie Boussnina (Princesse) qui jouent. J’ai l’impression que la série est entre de bonnes mains. Le reste des personnages ne m’a pas intéressé. Ils font avancer l’histoire, mais ils sont oubliables. Je suppose que nous verrons comment ils évoluent, j’ai eu du mal à rester concentré sur le premier épisode. J’avais l’impression qu’il faisait partie d’un tout qui ne pouvait pas être divisé. J’attendrai la saison entière avant de consommer d’autres épisodes. Ils ont fait un travail formidable sur les visuels. Les images de synthèse sont de premier ordre, les costumes sont parfaits, le ton de la vision de Villeneuve est maintenu et développé. Le département artistique devrait recevoir des prix pour sa beauté.